Assurance vie et fiscalité ne font pas toujours bon ménage
Il y deux sortes d’assurance vie : l’assurance en cas de décès ou l’assurance en cas de vie.
L’assurance en cas de décès prévoit le versement du capital au bénéficiaire préalablement désigné par l’assuré, si ce dernier meurt avant l’échéance du contrat. Pour une assurance en cas de vie, le capital est versé à l’assuré lui-même s’il est toujours vivant au terme du contrat.
Une assurance vie constitue un plan d’épargne ou encore un placement financier. A ce titre, l’assurance vie fait l’objet d’une imposition particulière.
Néanmoins, l’assurance vie fiscalité garantit un net avantage aux assurés malgré sa complexité.
Sont imposables, en termes d’assurance vie, les plus-values (taux d’imposition 7,5%) produites par les contrats et les rachats de contrat.
Les prélèvements d’impôt diffèrent selon qu’il s’agisse d’un versement du capital total, d’un versement échelonné de l’épargne sous forme de rente viagère (plus le rentier est âgé, moins la rente est imposée), d’un rachat partiel ou total de la somme épargnée.
Les contrats d’assurance vie dont les bénéficiaires sont des personnes handicapées jouissent d’une réduction d’impôt. Le capital de l’assurance vie fait également l’objet de prélèvements sociaux à 11% sauf si l’adhérent est décédé.
Outre une fiscalité avantageuse, l’accès facile aux marchés financiers et la souplesse dans les délais de versement de la prime, souscrire à une assurance vie permet de toujours avoir son capital à disposition.